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Rue du Blogule Rouge Insoumis

Rue du Blogule Rouge Insoumis

Dans la rue du blogule rouge on s'intéresse à toutes les affaires de la cité et des citoyens.

Publié le par ruedublogulerougeinsoumis
Les milliardaires d’extrême droite au pouvoir aux USA
Les milliardaires d’extrême droite au pouvoir aux USALes milliardaires d’extrême droite au pouvoir aux USA

 

Souvenir de voyage à New-York : la Trump Tower (inaugurée en 1984), comme l’a si modestement nommée son propriétaire, est un gratte-ciel de 54 étages (+ de 200 m) situé dans la cinquième avenue à Manhattan à New-York et qui possède à l’entrée une sorte d’atrium avec une gigantesque paroi de marbre rose me faisant irrésistiblement penser à un urinoir.

Ce gratte-ciel  pompeux appartient bien sûr à Donald Trump, milliardaire de l’immobilier (Trump) et mégalomane (et en partie aussi à AXA - equitable Life Insurance Company). Il y possède un appartement qui occupe le dernier étage et dont il a fait sa résidence principale.

 

On peut donc dire que des “pissotières“ aux “cagoinces“, de l’autoritarisme droitier à la dictature assumée et la légalité internationale ignorée, il n’y a qu’un pas que le clown fachiste réélu président a ou va franchir.

 

C’est vrai que nous avons déjà vu ce triste sire à la tête des États-Unis d’Amérique et nous y avons survécu. Mais il faut bien prendre conscience de la dangerosité du nouveau Trump.

 

Depuis sa tentative impunie de coup d’état au capitole il y a 4 ans, depuis sa réélection facile face à une candidate qui avait cru de par sa non-radicalité rallier à elle l’Amérique profonde, Trump et ses acolytes sont de plus en plus arrogants et hors de contrôle :

Menaces d’intervention militaire partout dans le monde, menaces contre les droits de l’homme (et de la femme ; ne veut-il pas rendre l’avortement illégal partout dans le pays), salut nazi effectué par un de ses principaux soutiens,

 -Musk, milliardaire et membre du gouvernement - guerre économique déclarée à la Chine et à l’Europe, on peut dire que Trump commence bien mal son nouveau mandat ! Avec fanfare et trumpette.

  • Trump menace des pays étrangers de conquête militaire :
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  • D’après lui, le Danemark, pays adhérent de l’Union Européenne (et membre de l’OTAN), doit, ou accepter de lui vendre le Groenland, ou à terme, subir l’invasion militaire de ce territoire.

 

  • Trump assume également de ne plus respecter la parole de son pays à l’international en niant la valeur
  • des traités signés : en dépit du traité (ALENA) ratifié par ces mêmes États-Unis en 1992, entré en vigueur en 1994 pour 26 ans, donc jusqu’en 2020, mais remplacé le 1er juillet 2024 par l’Accord Canada–États-Unis–Mexique (ACEUM), qui garantissait la libre circulation des marchandises en Amérique du Nord, Il fait du chantage au Canada qui, s’il ne se conforme pas à l’ordre de devenir un 51ème état US, devra subir des taxes énormes à l’exportation de ses produits vers les États-Unis.

 

  • De même, le 3ème signataire, le Mexique, qui d’après Trump, doit s’estimer heureux qu’après la guerre de 1846-1848 il n’ait perdu que le tiers de son territoire (Texas, Nouveau-Mexique, Arizona, Colorado, Californie), devra subir aussi les mêmes taxes, s’il ne participe pas avec suffisamment d’enthousiasme à la politique anti-migratoire des USA (étanchéité de la frontière -le fameux mur-, accueil des re-migrés, etc.).
Mexique d'avant 1848

 

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  • Le Panama, quant à lui, est aussi menacé d’une intervention militaire, s’il ne redonne pas aux USA le canal de … Panama. Un traité avait pourtant été signé par les USA en 1999 pour rétrocéder le canal à l’état Panaméen. Après en avoir espéré une rente perpétuelle, imposée au départ à la Colombie, puis au Panama lui-même (après une intervention militaire, les Usa avaient d’abord fait du Panama un protectorat américain, puis avaient bénéficié de l’exploitation du canal pendant presque un siècle). C’est, d’après Trump, un manque à gagner, d’autant que les Chinois possèdent déjà quelques ports importants dans la région. 
  • José Raúl Mulino, le président panaméen, s'est lui, soumis aux exigences de Donald Trump. Dans son discours d'investiture, le président américain avait dit vouloir "reprendre" le contrôle du canal pour contrer l'influence de la Chine. Une mise en garde renforcée dimanche 2 février par le secrétaire d'Etat américain, Marco Rubio, qui a choisi le Panama comme destination de son premier déplacement à l'étranger. Il a menacé le pays de "mesures" en l'absence de "changements immédiats" sur la gestion du canal. Lesquels etylesquelles ? On ne sait pas.

    Au terme de sa rencontre avec Marco RubioJosé Raúl Mulino a proposé des discussions au niveau "technique" avec les Etats-Unis pour répondre aux préoccupations de Donald Trump. Plus concrètement, le président panaméen a annoncé réduire ses relations avec la Chine, en ne renouvelant pas sa participation au projet mondial chinois d'infrastructures dit des "nouvelles routes de la soie". Conclu en 2017, ce contrat avait fait du Panama le premier pays de la région à s'associer à ce programme de Pékin.

  • Trump refuse aux humains leurs droits et fait dans la déportation de masse.
  • Proche des intégristes religieux, il veut contraindre les états à interdire partout l’avortement.
  • Ami des suprémacistes blancs, il pense qu’il faut distinguer entre les étrangers qui d’après lui, sont tous des criminels, surtout s’ils sont basanés et parlent espagnol ou portugais et les Blancs chrétiens issus d’Europe il y a longtemps.

Les étrangers sont déjà raflés pour être déportés (c’était en fait déjà le cas sous Obama, Trump 1 et Biden, mais plus discrètement), s’ils n’ont pas de document d’identité les autorisant à rester dans le pays, peu importe vers où, vers leur pays d’origine, ou vers des prisons comme Guantanamo, enclave US illégale à Cuba. Prison à ciel ouvert tristement célèbre comme centre de tortures de détenus sans procès et sans avocats, Trump voudrait la voir capable de contenir 30 000 prisonniers pour pouvoir y expédier les raflés, transformant cette enclave illégalement gérée par les USA sur l’île de Cuba (mais ça n’a pas empêché Trump, sans aucun argument, de replonger l’État cubain dans le compartiment terroriste de la Maison Blanche dont  il venait tout juste de sortir) en véritable camp de concentration.

Quelles y seraient en effet les conditions de détention ? Quelle serait la durée des séjours ? Où iraient ensuite les prisonniers ? Et pourquoi emprisonner des gens qui n’ont commis, pour la plupart, comme crime, que le fait de n’avoir pas de documents reconnus par les USA ?

Autant de questions sans réponse à ce jour, mais méfiance maximale de rigueur !

 

Pour pouvoir renvoyer dans leur pays d’origine les migrants et sembler respecter la législation américaine, Trump souhaite exhumer une vieille loi qui permet, en temps de guerre (mais pour lui peu importe), de renvoyer les étrangers chez eux.

 

Paradoxe immense, de nombreux Navajos ont déjà été arrêtés (au faciès) à Phoenix et Albuquerque par la police de l’immigration (parfois sur leur lieu de travail) qui leur demande, c’est un comble, de justifier de leur “sang indien“  (“Moi, Blanc demande à toi, Indien si tu es vraiment autochtone ou étranger sur cette terre que je me suis appropriée“) et leur réclame des papiers d’identité qu’ils n’ont pas toujours. 

 

Autre paradoxe, des Vénézuéliens, soit-disant menacés dans leur pays, vont être renvoyés … au Vénézuelaaaaaa.

 

Quant aux Afghans qui sont venus aux États-Unis dans les fourgons de l’armée US en déroute (les traducteurs, guides, employés civils de l’armée, etc.) ils sont particulièrement inquiets.

  • ➡ Pour le moment, Trump se heurte aussi à des présidents de gauche comme Gustavo Petro en Colombie ou Claudia Schenbaum au Mexique.
  • Le président Petro, en voyant arriver chez lui par avion militaire US des compatriotes entravés par des chaînes aux poignets et aux chevilles dans le plus pur style pénitentiaire américain, a, dans un premier temps (et bien qu’il ait été ensuite contraint -réalisme politique oblige- de céder en partie aux desiderata de l’oncle Sam), adressé une longue lettre poétique, digne et piquante au sieur Donald, dont voici la teneur :

“J’aime des choses dans ton pays, Trump, mais pas tout ! (…)

Je n'aime pas ton pétrole Trump. Tu vas anéantir l'espèce humaine à cause de ton avidité (…) on pourrait en parler franchement, mais c'est difficile car tu me considères comme d’une race inférieure ce que je ne suis pas, ni aucun colombien.

(…) Tu peux essayer de réaliser un coup d'État contre moi avec ta force économique et ton arrogance, comme vous l'aviez fait avec Allende. Mais je mourrai sans peur. J'ai déjà résisté à la torture et je te résisterai.

 

Je ne veux pas d'esclavagistes à côté de la Colombie. (…) La Colombie (…) tu n'as pas compris que c'est la terre des papillons jaunes, de la beauté des Remedios, mais aussi des Aureliano Buendía (résistant du roman de "Cent ans de solitude" de Garcia Marquez figurant une personne commune qui se lève contre l'oppression) dont je suis l'un des représentants. Comme tous les Colombiens.

Tu vas peut-être me tuer, mais je survivrai dans mon peuple, qui existait avant le vôtre, en Amérique. Nous sommes peuples des vents, des montagnes, de la mer des Caraïbes et de la Liberté.

Tu n'aimes pas notre liberté ! Ok ! Je ne te serre pas la main car je ne serre pas la main des  esclavagistes blancs. Je serre la main des héritiers libertaires blancs de Lincoln et des fermiers noirs et blancs des États-Unis, sur les tombes desquels j'ai pleuré et prié (…). Ils sont les vrais États-Unis et devant eux je m'agenouille, mais devant personne d'autre.

 

Renverse-moi, Président Trump, et les Amériques toutes entières et l’humanité te répondront.

La Colombie a arrêté maintenant de regarder vers le nord, et regardera désormais vers le monde.

 

Notre sang vient de loin et a une longue histoire, du sang du califat de Cordoue, des Romains, de la Méditerranée, de la civilisation de cette époque qui a fondé la République à Rome et la Démocratie à Athènes ; notre sang vient de la résistance des Noirs, ces fiers combattants devenus esclaves de votre fait.

Mais la Colombie a été le premier territoire libre de l'Amérique, bien avant Washington ; (…)

Tu ne nous gouverneras jamais.

Le guerrier qui a chevauché nos terres en criant la liberté s'appelle Bolivar et s'oppose à toi.

Notre peuple est un peu craintif, un peu timide, il est naïf et gentil, aimant, mais il saura comment regagner le canal de Panama, que vous nous avez pris avec violence. Deux cents héros de toute l'Amérique latine se trouvent à Bocas del Toro, le Panama d'aujourd'hui, anciennement Colombie et que vous avez assassinés.

(…)

Votre blocus ne me fait pas peur, car la Colombie, en plus d'être le pays de beauté, est le cœur du monde. (….)

On m'informe que vous imposez un tarif de 50% sur les fruits de notre travail humain pour entrer aux États-Unis, eh-bien je ferai de même : 50% sur tous vos produits.

Notre peuple plantera du maïs en Colombie et nous nourrirons le monde."

Gustavo Petro“

Quant à Claudia Sheinbaum, présidente de Mexique, elle semble accepter le défi de la guerre économique mais pense avoir des armes pour lutter. Elle écrit :

 

Alors vous avez voté pour construire un mur… Eh bien, mes chers Américains, même si vous ne comprenez pas grand chose à la géographie, puisque pour vous, l’Amérique est votre pays et non un continent, il est important qu’avant de poser les premières briques, vous découvriez qu’il y a à l’extérieur de ce mur,  7 milliards de personnes.

 

Mais, comme vous ne connaissez pas vraiment le terme “personnes“, nous les appellerons “consommateurs“.

Il y a 7 millions ode consommateurs prêts à remplacer leur iPhone par un Samsung ou un Huawei en moins de 48 heures. Ils peuvent également remplacer Levi’s par Zara ou Massimo Duti.

En moins de six mois, nous pouvons facilement arrêter d’acheter des véhicules Ford ou Chevrolet et les remplacer par une Toyota, Kia, Mazda, Honda, Hyundai, Volvo, Subaru, Renault ou BMW, qui sont techniquement bien supérieurs aux voitures que vous produisez.

 

Ces 7 milliards de personnes peuvent aussi arrêter de s’abonner à Direct TV, et nous ne le voudrions pas, mais nous pouvons arrêter de regarder des films hollywoodiens et commencer à regarder davantage de productions latino-américaines ou européennes qui ont une qualité, un message, des techniques cinématographiques et un contenu supérieurs.

Même si cela peut paraître incroyable on peut sauter Disney et aller au Parc Iscaret à Cancùn, au Mexique, au Canada ou en Europe : Il existe d’excellentes destinations en Amérique du Sud, en Orient ou en Europe et même si vous n’y croyez pas, il existe des hamburgers meilleurs que ceux de Mac Donald et avec un meilleur contenu nutritionnel. Quelqu’un a-t-il vu des pyramides aux États-Unis ? En Égypte, au Mexique, au Pérou, au Guatemala, au Soudan et dans d’autres pays il existe des pyramides avec des cultures incroyables.. Découvrez où se trouvent les merveilles du monde antique et du monde moderne. Aucune d’entre elles ne se trouve aux États-Unis. Dommage pour Trump, il les aurait achetées et revendues. Nous savons qu’Adidas existe et pas seulement Nike et nous pouvons commencer à consommer des chaussures de tennis mexicaines comm la Panam.  Nous  savons beaucoup plus que vous ne le pensez.

Nous savons, par exemple que si ces 7 milliards de consommateurs n’achètent pas vos produits, il y aura du chômage, et votre économie, à l’intérieur du mur raciste, s’effondrera au point que vous nous supplierez de démolir le mur fatidique.

Nous n’en voulions pas, mais vous vouliez un mur. Vous allez avoir un mur.

Cordialement, Claudia Scheinbaum.“

 

Néanmoins, pour le moment et pour gagner un mois sans taxes, le Mexique s'est engagé à déployer 10 000 soldats à la frontière. 

Trump veut les terres rares ukrainiennes en échange d'armes.

Des armes contre des métaux précieux ? Le marchandage est lancé. Le président américain, Donald Trump, a réclamé, lundi 3 février, "des assurances" de la part de l'Ukraine pour mettre la main sur ses "terres rares", des métaux très utilisés dans l'électronique, en contrepartie de l'aide américaine.

  • Trump casse les accords mondiaux pour la survie de la planète Terre.

Trump est aussi celui qui fait sortir les États-Unis d’Amérique de l’accord  de Paris signé en 2015 et qui prévoyait de réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre dans le but de limiter à 2 °C le réchauffement planétaire au cours du siècle présent, tout en poursuivant l'action menée pour le limiter encore davantage à 1,5 °C.

Au lieu de cela, Trump préfère satisfaire les climato-sceptiques et favoriser la rentabilité capitaliste immédiate par l’extraction de pétrole de schiste et développer toutes les industries polluantes.

C’est aussi pourquoi Petro lui rappelle que “Je n'aime pas ton pétrole Trump. Tu vas anéantir l'espèce humaine à cause de ton avidité.“

Trump veut aussi modifier la géographie

 

Il ne veut plus que le golfe du Mexique garde son nom mais qu’il soit rebaptisé “golfe d’Amérique“. Sachant que le mot “Amérique“ est improprement mais usuellement attribué souvent aux États-Unis d’Amérique seuls, ce serait comme nationaliser le golfe au seul profit moral des USA.

 

Il veut aussi débaptiser le mont culminant des USA (en Alaska) et revenir à l’appellation yankee : “Mount Kinsley“ au lieu de “Mount Denali“ en langue athabascan, nom réclamé depuis cent ans et récemment obtenu par l’Assemblée législative de l’Alaska. Il ne veut ainsi faire aucune concession sur l’idéologie et refuse donc de reconnaître la colonisation de l’Alaska en tant que telle. C’est comme s’il voulait débaptiser Haïti ou l’un quelconque des états unis qui porte un nom indien (Indiana, Arkansas, Dakota, etc.).

05/02/2025 PS Ce qui est ennuyeux avec Trump, c'est que l'on ne peut pas être exhaustif car chaque jour, il pond une nouvelle turpitude.

Aujourd'hui, dans une conférence de presse en présence de son ami et criminel de guerre suspecté Benjamin Nettaniahou qui acquiesçait, il propose de déporter les survivants palestiniens de Gaza, (les survivants du génocide perpétré par son allié israélien avec ses propres armes).

Les déporter où ? Eh ! bien ! en disposant du territoire des autres nations à sa guise, ce pourrait être, dit-il, en Égypte ou en Jordanie.

Ces pays sont-ils d'accord ? Non mais ils finiront par l'être, Trump en est persuadé. Après quel chantage ?

Les Palestiniens sont-ils d'accord ? Non mais “on“ ne leur demandera pas leur avis !

En attendant, Trump prévoit d'envoyer sa propre armée pour prendre possession de Gaza. Il pourrait ainsi nettoyer ce qu'il ose appeler ce “chantier de démolition“ et le transformer en “une nouvelle Côte d'Azur“. C'est-à-dire vendre ou louer maisons et appartements de loisir qu'il y aurait construis.

Bref, ajouter la spoliation par le vol des terres au nettoyage ethnique.

Face à de telles énormités, même les autorités françaises ont réagi mais en se contentant de dire que cette proposition était inacceptable. Comment l'empêcher ? Comment passer du soutien inconditionnel à Israël pour s'intéresser au sort des Palestiniens ?

Plus que jamais il faut revenir à la solution à 2 états revendiquée par l'ONU.

RECONNAISSEZ TOUT DE SUITE L'ÉTAT DE PALESTINE, AU NOM DE LA FRANCE, MONSIEUR MACRON, C'EST URGENT !

Y-a-t-il des apprentis Trump en France ?

 

Donc, nous avons affaire à un personnage fort dangereux. Mercantile, il est prêt à revenir à la politique de la canonnière et en tous cas à appliquer entièrement la doctrine Monroe qui induisait que tout, finalement, appartient aux Américains (Blancs et anglophones, bien sûr) que les lois De l'oncle Sam doivent, en plus de leur extraterritorialité, être s'il le faut, rétroactives.

Mais si on met de côté la façon clownesque qu’il a de se comporter, on voit bien des similitudes avec ce que fait ou veut faire l’extrême droite internationale et en particulier avec ceux qui en France sont déjà au pouvoir ou voudraient y accéder.

De Trump à Retailleau ou Le Pen et Bardella et Zemmour , il n’y a que l’épaisseur d’une feuille de papier à cigarettes. 

 

Les milliardaires d’extrême droite au pouvoir aux USALes milliardaires d’extrême droite au pouvoir aux USALes milliardaires d’extrême droite au pouvoir aux USA
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